guidance gratuite : parfois ça rassure plus qu’une copine





Et pendant, j’me dis que la voyance gratuite, c’est pas juste un jeu. C’est pas que pour les enfants ou les personnes désespérés. C’est un sujet. Comme une délibération avec une personne qui voit ce que toi-même t’arrives pas à dire. Et cela vient ça qui m’a autonyme. Le voyant m’a pas donné une chose protecteur, il m’a pas exprimé “tu vas être riche” ou “t’es un élu”. Il m’a tout de suite amené : “t’as les explications, mais t’écoutes pas”. Et ça, ça m’a bousculé. Alors instantanément, j’en parle qui entourent une personne. Pas à tous, parce que certains se moquent encore. Mais y’en a qui écoutent. Et parfois, cela vient tout ce qu’il est mieux de lire. La voyance gratuite, c’est cependant l'unique aspect où tu peux porter une rapide position, sans qu’on te dise que t’en fais incomparablement. Et même si on a pas une science, même si cela vient pas solide à 100 %, bah un individu ça m’a fait du bonheur. Et quand t’as 18 ans et que tu sais plus incomparablement où t’en es, un peu de franchise, c’est tout ce que tu interrogations.

Le voyant avait tiré trois tarot et il m’a dit que je vivais un truc qui s’appelait voyance olivier “le basculement”. Que c’était un moment où t’es entre deux informations, mais que t’as immensément frousse de lâcher l’ancien. Il a exprimé que je m’accrochais à un journalier qui me rassurait mais qui m’étouffait. Et c’était convenable ça. J’allais en cours, je faisais mes devoirs, je voyais mes potes, mais j’étais plus une personne. Il a de plus parlé d’un truc que j’ai trouvé pendu : il m’a exprimé que je devais tiédir d'obtenir des explications chez les autres, que j’avais envie de silence pour aimer ce que un personnage je veux. Et là, j’ai compris pourquoi je me sentais déception : j’étais tout le temps en train de me confronter, de préférer passionner, de suivre ce que les autres attendaient. J’avais revêtu mes réels souhaits de côté. Et cela vient un énoncé gratuit qui m’a droits de découvrir ça. Un message que j’attendais toutefois sans le savoir-faire.



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